Description
L’histoire de Saint-Étienne-Cantalès s’est brusquement accélérée depuis que son nom est associé au barrage et surtout au vaste lac de retenue qu’on a créés sur son territoire au milieu du XXe siècle et qui attirent des milliers de touristes chaque été.
Saint-Étienne-Cantalès et sa vue plongeante sur la rive la plus sauvage du lac artificiel du même nom… Si les habitants du village d’il y a un siècle pouvaient voir cela, ils n’en croiraient pas leurs yeux !
Saint-Étienne-Cantalès est aujourd’hui non seulement l’un des plus importants sites de production d’électricité du Massif central, c’est aussi l’une des principales destinations touristiques du Cantal. Et pour cause, cette vaste étendue d’eau de 562 ha s’intègre merveilleusement dans son environnement forestier et vallonné, et elle dispose d’équipements pour la baignade et les sports nautiques.
Parmi les estivants qui séjournent sur ses rives, entre deux séances de paddle et de jet-ski, beaucoup profitent de l’occasion pour découvrir ce qui se trame derrière le mur du barrage. EDF ouvre les portes de l’usine hydroélectrique tous les vendredis de juin à septembre, dévoile presque tout et répond à toutes les interrogations. Et pour ceux qui souhaitent simplement profiter de la beauté des lieux, le belvédère aménagé juste en surplomb du barrage permettra de s’informer succinctement sur le rôle et le fonctionnement de l’impressionnante structure de béton.
Les mieux informés reviendront même peut-être le soir pour assister à un spectacle unique en son genre : Aster. Chaque soir, le mur se mue en écran géant. Les étoiles fixées sur la paroi de la construction s’illuminent au crépuscule puis laissent place lorsque la nuit achève de tomber à une grandiose projection de dessins d’animaux parmi ceux qui peuplent le lac et ses abords. Chaque soir de la semaine vous propose un récit différent et ce tout au long de l’année.
Des animaux, vous pourrez en apercevoir de véritables en sillonnant le marais du Cassan, dont les 500 hectares se répartissent sur les communes de Saint-Étienne-Cantalès, Saint-Paul-des-Landes et Lacapelle-Viescamp. Cet ensemble de prairies humides, de marais et de landes tourbeuses est l’hôte d’espèces animales et végétales rares et même parfois uniques dans la région : amphibiens, reptiles, libellules…
Et si vous rencontriez l’amusante loutre d’Europe au gré de votre promenade ?
Pour vous y aidez, un circuit pédestre de 18 km vous mènera depuis le village de Saint-Étienne jusqu’au cœur du marais du Cassan, en vous faisant profiter au passage de vues sur les monts du Cantal.
Si le facétieux mustélidé fait faux bond – ce qui est le plus probable… – , vous pourrez vous consoler avec les abeilles. Elles vous expliquent tout sur leur fascinant labeur grâce au rucher pédagogique de Miécaze, situé au bord de l’itinéraire.
Et à moins que vous ne l’ayez visitée en partant, n’oubliez pas de pousser la porte de l’église Saint-Étienne au retour de votre randonnée. Comme la plupart des églises cantaliennes, elle se signale par son clocher à peigne, et sa sobre et émouvante nef couverte d’une voûte en berceau se prolonge par un chevet plat sur lequel s’adosse l’ancien presbytère.
The history of Saint-Étienne-Cantalès has accelerated sharply since its name became associated with the dam and above all the vast reservoir created on its territory in the middle of the 20th century, which attracts thousands of tourists every summer. :
De geschiedenis van Saint-Étienne-Cantalès is in een stroomversnelling geraakt sinds de naam werd geassocieerd met de stuwdam en vooral het grote stuwmeer dat in het midden van de 20e eeuw op zijn grondgebied werd aangelegd en dat elke zomer duizenden toeristen trekt. :
Tarifs
Accès libre.
Ouverture
Toute l'année, tous les jours.
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